Tu connais la rengaine : « Faut faire des sacrifices pour réussir. » Sauf qu’en vrai ?
Tu termines ta journée vidée, sans énergie pour toi, ni pour tes proches. Tu t’organises. Tu planifies. Tu testes tous les outils. Mais t’as toujours la tête sous l’eau.
Ce n’est pas un manque de motivation. C’est un manque de structure.
Voici ce qu’on change chez mes clientes pour qu’elles arrêtent de subir leur business.
On planifie avec souplesse (et stratégie)
Tu veux des journées fluides ? Alors oublie les plannings rigides.
On pose des blocs stratégiques, avec des marges pour les imprévus, et des espaces réservés à la prise de recul.
👉 Objectif : tu bosses moins, mais mieux. Tu ne redémarres pas à zéro à chaque bug.
On priorise
Tu ouvres ton ordi et tu t’attaques à quoi ? Chez moi, on choisit UNE priorité business par jour.
Pas la plus urgente. La plus impactante.
👉 Résultat : moins de dispersion. Plus de direction.
On impose un rythme (pas une prison)
Non, ton cerveau n’est pas une machine. Travailler non-stop, c’est pas de la motivation. C’est du sabotage.
On ancre des micro-pauses pour recharger. Tu carbures au bon carburant, pas à la survie.
On délègue intelligemment
Pas juste “ce que t’as pas le temps de faire”. Mais tout ce qui n’a pas besoin d’être fait par toi. Tu reprends ta vraie place : penser, décider, créer.
👉 Et ça, je t’aide à l’identifier, à l’organiser, et à le faire vivre.
On fixe des règles claires (et on s’y tient)
Plus de mails à 22h. Plus de client qui déborde sur ta vie perso.
On pose des limites non négociables. Tu montres l’exemple, tu récupères ton énergie.
Et surtout : on célèbre. Chaque putain de pas.
T’as avancé sur ton offre ? T’as refusé un projet pas aligné ? T’as tenu ton créneau stratégique ?
On le note. On le célèbre. Parce que la réussite, c’est pas juste le résultat. C’est aussi le chemin.
T’as pas besoin de mieux t’organiser.
Tu as besoin de repenser ton business pour qu’il serve ta vie (et pas l’inverse).
Et si t’es encore là à te dire « je tiendrai encore un peu comme ça », je te pose LA question :
