L’argent se perd et se regagne, mais le temps, lui, ne se regagne jamais
Un chef d’entreprise, c’est un peu comme un caméléon : il endosse tour à tour les rôles de dirigeant, comptable, RH, commercial… C’est une réalité quotidienne qui peut être enrichissante et épanouissante, mais aussi épuisante.
Dans notre monde, il est crucial de gérer son temps avec soin, de se demander comment on le dépense chaque jour et quels résultats cela engendre.
Pour les chefs d’entreprise, cela se traduit par la volonté de concentrer leur temps sur ce qu’ils maîtrisent et ce qui a du véritable impact, tout en déléguant le reste à une assistante indépendante.
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Tu as dit « Assistante » ?
Le terme « assistante » peut sembler doux, mais il définit une personne qui aide et soutient dans diverses tâches. Certes, « assistante » sonne plus moderne et valorisant que « secrétaire » (merci le politiquement correct), mais au fond, les missions restent les mêmes : l’accompagnement.
L’assistance existe depuis des décennies. Dès l’Égypte Antique avec les scribes, et au Moyen Âge avec les premiers secrétaires. Avec la révolution industrielle, le besoin en secrétaires a explosé.
Une profession en pleine mutation
La révolution numérique a longtemps fait craindre la fin du métier. Au lieu de cela, il a évolué grâce à :
- La digitalisation des processus
- Le besoin de compétences nouvelles
- La mutualisation des coûts via des ressources humaines en temps partagé
- La surcharge de travail des chefs d’entreprise
- La crise sanitaire qui a accéléré le télétravail et l’externalisation
Aujourd’hui, en France, il y a environ 800 000 assistantes, dont 98% sont des femmes. Nombre d’entre elles ne se reconnaissent plus dans un titre qui donne une fausse impression de passivité, alors que le métier rime avec proactivité !
Les tâches des assistantes ne se limitent plus à la gestion des appels ou des agendas. Elles apportent une vraie valeur ajoutée aux entreprises. Les T.I.C. (Technologies de l’Information et de la Communication) ont brisé les clichés : l’assistante 3.0 n’est plus une simple exécutante.
Crevons l’abcès tout de suite
Pourquoi plusieurs entreprises ne se partageraient-elles pas une assistante indépendante ? Avec la crise sanitaire, il est devenu évident que le monde du travail doit évoluer. La distanciation sociale, le télétravail et les nouvelles technologies nécessitent une réorganisation totale des métiers.
L’assistante indépendante, aussi appelée assistante virtuelle, bras droit, couteau suisse ou facilitatrice de vie, travaille à son compte. Elle choisit ses clients et ses missions, et est libre de s’organiser comme elle le souhaite. Elle est le binôme indispensable du chef d’entreprise, apportant un soutien sur-mesure et prenant en main l’administratif pour faire avancer l’entreprise.
Mon métier ? Faciliter le vôtre !
Au revoir stress, charge mentale, et tâches sans valeur ajoutée… Démocratisons l’assistance et l’externalisation. Si tu es passionnée par ton entreprise mais que la charge de travail devient écrasante, il est peut-être temps de déléguer.
Les avantages à déléguer
- Gain de temps et d’argent
- Simplicité, flexibilité et liberté
- Économie
- Confiance et soutien
- Réduction de la charge mentale
- Nouveauté et efficacité
- Disponibilité
La délégation n’est ni un échec ni une perte d’argent. C’est un investissement pour rendre ta journée plus productive et agréable. Que ton business évolue ou que tu souhaites simplement alléger ta charge, il n’y a pas de honte à demander de l’aide.
N’attends pas d’être submergée : DÉLÉGUE !
En faisant appel à une assistante indépendante, tu pourras :
- Gagner du temps dans tes journées chargées
- Te concentrer sur ton cœur de métier
- Préserver ton équilibre de vie
- Garder le contrôle sur ton entreprise
- Et avoir des horaires presque normaux !
J’ai utilisé le féminin tout au long de cet article pour simplifier la lecture, car ce métier est principalement exercé par des femmes. Mais les hommes sont bien entendu inclus, et peut-être représenteront-ils la profession de demain
